jeudi 16 janvier 2014

Le Djerbien : Belle La Vie

Le Djerbien : Belle La Vie

Dans le seul désir de voir le matin apporter de bonnes nouvelles augurant d'une journée douce, Calme entre les interstices de la voix, celle chaude, douce, accueillante celle dont un simple rire te dit si tout se déroulera mal, belle la vie dans la pensée que tout comme prévu et que la journée est une journée extraordinairement ordinaire sans le moindre nuage, sans la moindre contrarièté sans humeurs sans malentendus sans colères avec les voix raccordées un peu comme au doublage de voix quand on doit se montrer maître d'oeuvre au lipingde a être meilleur que l'original. Avoir pour seule envie l'autre au bout du fil malgré la distance,le manque de temps,le temps qui nous joue les tours que l'on croit juste. Et se racontetr, Se dire et savoirs se taire sur ce que l'on croit juste. Et se raconter. Se dire et savoir se taire sur ce qui peux blesser. Mettre entre parenthèses les tempête, les vies taciturnes, les vies passées 
à côter dans l'ignorence l'un de l'autre. Belle la vie dans les projections de périples en chine ou même jusqu'a Cercina qui ne se feront sans doute jamais. De fêtes qui se décalent de semaines on mois et de mois en années. Pourquoi pas. Cela présuppose des années devant soi. la vie devant soi. De ruelle "djerbienne" serpentées à l'heur de la rupture du jeûne, avec pour seuls compagnons quelques chats flemmards exemple "Chats Bretonne" FA le monde ouvert, et le silences clairs.
Dépasser les murailles de la ville Ancienne et oser se monter au soir qui se faufile avec le bonheur dans ce nouvel automne. Se dire que dans le déroulement du jour on n'est pas vraiment seul dans la furie du monde, dans les calculs des puissance, les manigances des pouvoir, les folles annexions, les maladies mentales, le passage dans cette deuxiemme partie du jour qui fait si peur. Belle la vie dans l'attent fébrile du lendemain et de ce dont il sera fait. Pourvu que tu ailles que tu veuille ancore te battre que tu veuilles ancore de l'autre et lui, elle, de toi. Dans les retours espérés, attendus, dans le manque insupportable et caché, dans lkes maladresses de trop d'amours, dans les affinités utopiques, lui dans les airs et toi sur la Terre. Toi aux commandes du tapis volant et lui ton unique passager, comme le crabe des cocotiers, dans les impatiences continues de nuits sans vent, dans la poétique vert et rouge de chefs d'oeuvre Djerba

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